Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur français, a évoqué aujourd’hui sur BFMTV la possibilité de réponses de la part de la France si l’écrivain Boualem Sansal n’était pas rapidement libéré. Parmi les mesures envisagées, Retailleau a mentionné la suspension des visas et une révision des accords bilatéraux, notamment l’accord de 1968 sur l’immigration, qu’il juge obsolète.
Pour sa part, le gouvernement algérien reste ferme et rejette toute ingérence étrangère, qu’elle soit politique ou judiciaire, dans ses affaires internes. Il est important de rappeler que Boualem Sansal est toujours citoyen algérien, bien qu’il ait récemment acquis la nationalité française il y a seulement six mois.
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